Le Comptoir des Epices s’engage à offrir à ses clients des produits naturels en adhérant à des normes élevées en matière d’agriculture durable. La majorité de nos épices sont certifiées BIO, garantissant ainsi une production respectueuse de l’environnement, sans l’utilisation de pesticides ni d’OGM.
Nous sommes fiers de travailler depuis des années en direct avec des agriculteurs passionnés pour soutenir leurs activités et améliorer leur niveau de vie. Nous croyons que la qualité des produits et le respect des producteurs sont les fondements d’une entreprise responsable et durable.
Depuis 1925, le Comptoir des Epices est fier de garantir à ses clients la qualité et la traçabilité de ses produits en s’occupant personnellement de l’ensemble des étapes de transformation : de l’importation à la mouture au conditionnement.
Grâce à notre équipe passionnée, un savoir-faire unique et du matériel spécifique, notre entreprise a été reconnue officiellement “Artisan Certifié”.
Nous nous sommes également engagés à contribuer à la formation de la jeune génération en offrant des opportunités d’apprentissage pour les jeunes talents. Nous croyons que l’investissement dans la formation et le développement des compétences est un moyen essentiel de garantir un avenir durable.
Le Comptoir des Epices minimise son impact environnemental à tous les niveaux de son activité : de la sélection des matières premières jusqu’à la livraison.
« Nous travaillons avec des matières premières certifiées BIO provenant de petits producteurs ‘au plus proche’. L’import des produits exotiques se fait par bateau et la livraison est certifiée CO2 Neutral. Le recyclage est conforme aux obligations légales, avec des emballages en verre et en carton respectueux de l’environnement. Le bâtiment est vert, situé dans un zoning artisanal « Nature admise » et utilise la biomasse pour le chauffage et des panneaux photovoltaïques pour des moutures 100% solaires. Ces engagements en faveur de l’environnement sont importants pour garantir un avenir durable à notre planète. » – Anne Vériter